S.M. Le Roi reçoit Mohamed Elyazghi
cet événement a constitué pour le Premier secrétaire de l’USFP une occasion pour présenter au Souverain, les grandes lignes de l’analyse de son parti en ce qui concerne le déroulement de la campagne électorale, les résultats des élections et les perspectives d’avenir.
Il va de soi que nous sommes tous (Etat, partis politiques et société civile) interpellés par certains faits qui ont caractérisé les échéances du 7 septembre 2007, en premier lieu le faible taux de participation des citoyens. Pour nous à l’USFP, cela est plus qu’un simple indice, surtout que nous sommes le parti qui a payé le plus le prix de cette désaffection.
Un second point ayant terni l’image du jour du vote consiste en le recours par certains candidats à la corruption des citoyens, soit pour les inciter à voter en leur faveur, soit pour les appeler à ne pas participer aux élections. Une nouvelle pratique qui démontre que les adversaires de la démocratie ne cessent d’inventer de nouvelles formes de résistance et de malversation ; sachant que certains responsables locaux, ont fermé les yeux sur ces pratiques, en croyant probablement que cela allait servir certaines forces politiques ou arrêter un éventuel raz-de-marée d’une certaine formation politique, qui avait pourtant atteint son seuil maximale de mobilisation.
Certes, toutes ces donnes nous interpellent. Nous avons défendu le bilan auquel nous avons participé et nous avons eu la grande part de dénigrement de la part de plusieurs courants, mais rien ne nous empêchera d’aller de l’avant et de poursuivre notre lutte pour la démocratie, le progrès et la modernité.
cet événement a constitué pour le Premier secrétaire de l’USFP une occasion pour présenter au Souverain, les grandes lignes de l’analyse de son parti en ce qui concerne le déroulement de la campagne électorale, les résultats des élections et les perspectives d’avenir.
Il va de soi que nous sommes tous (Etat, partis politiques et société civile) interpellés par certains faits qui ont caractérisé les échéances du 7 septembre 2007, en premier lieu le faible taux de participation des citoyens. Pour nous à l’USFP, cela est plus qu’un simple indice, surtout que nous sommes le parti qui a payé le plus le prix de cette désaffection.
Un second point ayant terni l’image du jour du vote consiste en le recours par certains candidats à la corruption des citoyens, soit pour les inciter à voter en leur faveur, soit pour les appeler à ne pas participer aux élections. Une nouvelle pratique qui démontre que les adversaires de la démocratie ne cessent d’inventer de nouvelles formes de résistance et de malversation ; sachant que certains responsables locaux, ont fermé les yeux sur ces pratiques, en croyant probablement que cela allait servir certaines forces politiques ou arrêter un éventuel raz-de-marée d’une certaine formation politique, qui avait pourtant atteint son seuil maximale de mobilisation.
Certes, toutes ces donnes nous interpellent. Nous avons défendu le bilan auquel nous avons participé et nous avons eu la grande part de dénigrement de la part de plusieurs courants, mais rien ne nous empêchera d’aller de l’avant et de poursuivre notre lutte pour la démocratie, le progrès et la modernité.